Aujourd’hui tout ce qui se passe dans ce monde devient très inquiétant, peut être nous avons le sentiment que tout s’effondre ?
Paix dans cette situation douloureuse où l’ennemi veut nous diviser, nous apeurer, nous séparer et fermer nos cœurs. Mais la bonne nouvelle de Jésus-Christ doit retentir en nous. Le Sauveur est tout proche.
Si nous restons dans l’attente de la venue de Jésus-Christ dans la prière et l’espérance, nous ne serons pas abattus. Nous serons debout devant le Fils de l’Homme. Nous pourrons aller à Lui parce que nous n’aurons cessé de l’attendre dans ce monde, sans être du monde.
Nous pouvons mettre en lumière la bonne nouvelle que suggère Jésus dans l’évangile de ce jour : le figuier dont les branches deviennent tendres au moment où sortent les feuilles qui annoncent que l’été est proche. Cette image de printemps, pleine d’espoirs et de promesses, Jésus l’applique à la fin des temps et à la proximité de sa venue.
« Lorsque vous verrez cela, sachez que le Fils de l’homme est proche ».
Certes la naissance du monde nouveau sera précédée d’un déchirement, d’un bouleversement mais n’est-ce pas le lot de toute naissance?
A travers tout ce qui peut nous contrarier c’est LUI que nous attendons, c’est LUI qui nous apporte la paix promise. Le Seigneur Jésus est de plus en plus proche.
Avec Saint Paul, dans l’épitre aux Romains, c’est dans l’espérance que nous vivons ce temps présent :
« j’estime qu’il n’y a pas de commune mesure entre les souffrances du temps présent et la gloire que Dieu va bientôt révéler en nous. En effet, la création aspire de toutes ses forces à voir la révélation du Fils de DIEU ».
Tenez-vous prêts : c ‘est à l’heure où vous n’y penserez pas, que le Fils de l’Homme viendra ( Lc 12).
Maranatha, viens Seigneur Jésus, nous t’attendons !
Marie-Line VIRASSAMY
(EAP)