Cher Père du ciel, de tous les bons cadeaux que tu m’as donnés, le plus grand et le plus beau, c’est ma maman.
Ce dimanche est le dimanche de la Sainte Trinité, je laisse volontiers les prêtres et les liturges en parler. Je me sens plus à l’aise pour parler de la Fête des mères qui est ce même dimanche.
Ce sont les anglais, au XVIIème siècle, qui ont instauré un dimanche de fête des mères. La fête des mères est instituée en France au XXème siècle pour rendre hommage aux femmes ayant perdu un fils ou un mari dans les tranchées. Elle finit même par être inscrite dans la loi française le 24 mai 1950 et fixée au dernier dimanche de mai, sauf si elle coïncide avec la Pentecôte, alors elle est reportée au premier dimanche de juin.
La fête des mères est une occasion spéciale pour réfléchir à notre rôle de parents et à notre engagement à élever nos enfants dans la foi. Nous faisons face à des défis, notamment celui d’impliquer nos enfants dans la messe dominicale. Comme tout enfant, ils peuvent parfois être agités ou bruyants et en grandissant devenir rebelle, voir réfractaire. Dans ces moments difficiles, nous nous rappelons les paroles de Jésus dans Matthieu (19,14) : « Laissez les enfants venir à moi, ne les en empêchez pas; car le royaume des cieux appartient à ceux qui leur ressemblent.».
(Monique Mollier – EAP)