Passejades 2025

“créer du lien, vivre la fraternité et découvrir le patrimoine religieux, le terroir et les lieux insolites”

La Pastorale des Réalités du Tourisme et de Loisirs du Diocèse, service pour la
“Valorisation et la Découverte du Patrimoine Religieux et de l’Art Sacré,
organise des rencontres ouvertes à tous dans le cadre des jeudis de la PRTL

Les passejades “promenades en occitan”, visent à faire découvrir le patrimoine religieux de l’Hérault, zone géographique étendue et variée. De l’ancienne cathédrale de Maguelone en bordure du littoral, à la modeste chapelle de Saint-Martin-du-Froid dans les monts de l’Espinouse, les édifices religieux témoignent de la foi de ceux qui nous ont précédés.

La PRTL permet à des pèlerins d’un jour, de s’émerveiller de l’architecture, de découvrir le lien entre les ressources géologiques d’un lieu et les matériaux mis en œuvre pour la construction.

À travers les noms des saints des lieux de culte, devant les tableaux, les sculptures, les vitraux qui les évoquent, les visiteurs peuvent se sentir touchés par la longue histoire de la communauté locale. C’est avec un sentiment d’humilité reconnaissante que ces mêmes visiteurs regarderont telle plaque commémorant les morts de la grande guerre, ou les remerciements à la Vierge pour les soldats épargnés ou les guérisons inespérées.

La PRTL permet la rencontre de passionnés, responsables d’associations de sauvegarde de monuments religieux.

Chaque moment d’explications est un moment de fraternité entre ces généreux passionnés et les membres du groupe accueilli. C’est un moment où ces paroissiens venant de différents horizons de l’Hérault, ou touristes explorant le territoire, sont heureux de se trouver ou de se retrouver. JPD

La PRTL peut alors rendre grâce d’honorer sa raison d’être : “Donner une âme au temps libre”
Pour connaître les heures de rendez-vous du départ de Béziers pour le covoiturage voir en bas de page

Passejades 2024

“créer du lien, vivre la fraternité et découvrir le patrimoine religieux, le terroir et les lieux insolites”

La Pastorale des Réalités du Tourisme et de Loisirs du Diocèse, service pour la
“Valorisation et la Découverte du Patrimoine Religieux et de l’Art Sacré,
organise des rencontres ouvertes à tous dans le cadre des jeudis de la PRTL

Les passejades “promenades en occitan”, visent à faire découvrir le patrimoine religieux de l’Hérault, zone géographique étendue et variée. De l’ancienne cathédrale de Maguelone en bordure du littoral, à la modeste chapelle de Saint-Martin-du-Froid dans les monts de l’Espinouse, les édifices religieux témoignent de la foi de ceux qui nous ont précédés.

La PRTL permet à des pèlerins d’un jour, de s’émerveiller de l’architecture, de découvrir le lien entre les ressources géologiques d’un lieu et les matériaux mis en œuvre pour la construction.

À travers les noms des saints des lieux de culte, devant les tableaux, les sculptures, les vitraux qui les évoquent, les visiteurs peuvent se sentir touchés par la longue histoire de la communauté locale. C’est avec un sentiment d’humilité reconnaissante que ces mêmes visiteurs regarderont telle plaque commémorant les morts de la grande guerre, ou les remerciements à la Vierge pour les soldats épargnés ou les guérisons inespérées.

La PRTL permet la rencontre de passionnés, responsables d’associations de sauvegarde de monuments religieux.

Chaque moment d’explications est un moment de fraternité entre ces généreux passionnés et les membres du groupe accueilli. C’est un moment où ces paroissiens venant de différents horizons de l’Hérault, ou touristes explorant le territoire, sont heureux de se trouver ou de se retrouver. JPD

La PRTL peut alors rendre grâce d’honorer sa raison d’être : “Donner une âme au temps libre”
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annulé  pour cause d’intempéries

En ce 5ème dimanche de Pâques, les chrétiens sont dans la joie

En ce 5ème dimanche de Pâques, les chrétiens sont dans la joie : Le Christ est ressuscité et nous avons un pape !

 

Un pape qui nous demande de vivre dans la paix intérieure et de travailler à établir entre nous des liens de paix.

Ses paroles font écho aux textes du jour : Apocalypse 21 « Et celui qui siégeait sur le Trône déclara : Voici que je fais toutes choses nouvelles ».  Tout comme Jésus [nous] « donne un commandement nouveau : c’est de vous aimer les uns les autres. » Jean, 13, 34.

Nous pouvons nous demander en quoi tout cela est nouveau puisqu’après tout nous aimons notre famille, notre cercle d’amis et même notre entourage. Mais Jésus nous demande d’aller au-delà de ces relations proches et plutôt évidentes, comme Paul et Barnabé sont partis vers des villes lointaines, où ils étaient inconnus, pour apporter une foi nouvelle, au risque de la contradiction voire de la condamnation à mort.

Nous sommes appelés à aimer, sans nous soucier de la couleur de la peau, ni de l’éducation, ni de l’apparence sociale : à aimer sans condition comme Jésus nous a aimés.

Saint Jean, dans sa première lettre nous guide : 3, 16 Voici comment nous avons reconnu l’amour : lui, Jésus, a donné sa vie pour nous. Nous aussi, nous devons donner notre vie pour nos frères. 17 Celui qui a de quoi vivre en ce monde, s’il voit son frère dans le besoin sans faire preuve de compassion, comment l’amour de Dieu pourrait-il demeurer en lui ? 18 Petits enfants, n’aimons pas en paroles ni par des discours, mais par des actes et en vérité.

Aimer en vérité, c’est aimer non pas pour soi, pour améliorer son image sociale, pour une satisfaction personnelle, mais permettre à l’autre de grandir dans sa vie, dans sa foi.

Esprit Saint, apprends-nous à aimer en vérité, aide-nous à accomplir la volonté du Père.

Monique Tarayre, membre du CPP de Bonne Nouvelle

Mes brebis écoutent ma voix et elles me suivent

Editorial

 « Mes brebis écoutent ma voix et elles me suivent »

Jean 10, 27-30

 

Ce texte d’évangile est très court mais vient au-devant de nous avec un message d’espérance : Jésus notre berger nous invite à demeurer connectés à lui. Il est vrai que nous ne le voyons pas mais nous avons un moyen merveilleux de le rejoindre là où nous sommes ; il nous suffit de tendre l’oreille pour écouter sa voix. Ce n’est pas seulement une voix qui nous interpelle, c’est aussi une main qui nous tient et protège.

Nous ne savons pas toujours où la vie nous mène, toutes ces inconnues de notre existence terrestre ont de quoi nous déstabiliser parfois, mais Jésus nous redit que si nous restons au sein de son troupeau, il sera toujours là, il connait chacune de ses brebis par son nom.

 

Ecouter la voix du berger c’est bien sûr tout ce que nous pouvons vivre en Église, par l’Eucharistie, les temps de partage de la parole, d’adoration, et de prières.

Le suivre c’est se mettre à son service, l’imiter par des actes, c’est l’accueil de ceux qui rencontrent des difficultés et qui peinent à suivre le berger. Nous trouvons quelquefois que nous sommes bien au sein du troupeau, nous sommes entre nous. Mais il ne faut pas oublier de laisser une ouverture à celui qui veut s’y glisser et se réjouir des nouvelles brebis qui nous rejoignent, même si elles bousculent nos habitudes.

Cette vie éternelle, Jésus veut nous la donner dès maintenant. Non pas la vie pour demain, quand nous serons morts, mais la vie ressuscitée qui se construit aujourd’hui : une vie qui a du sens, qui porte du fruit, une vie qui n’en finira pas de se déployer par le don de nous -mêmes, jusqu’au jour où nous entrerons dans la vie en plénitude.

En ce 4e dimanche de Pâques qui est aussi la journée de prière pour les vocations n’oublions pas de demander au Seigneur de continuer à envoyer des missionnaires de sa Parole.

Mais moi, quelle est ma vocation ? Qu’est-ce que le berger attend de moi ?
Chacun a une place à prendre, pour être cet ami par qui le Seigneur passe, pour témoigner et semer la confiance en l’amour de Dieu autour de nous.

Maïté Biau catéchiste

Membre du CPP de Bonne Nouvelle

Bienheureux Rolando Rivi

Bienheureux

Rolando Rivi

14 ans

Martyrisé en haine de la foi

Quelques liens pour en savoir plus :

 

 

Rolando Rivi, né le 7 janvier 1931 et mort le 13 avril 1945 (à 14 ans) est un jeune séminariste italien

 

Né au sein d’une famille rurale, Rolando Rivi perçoit rapidement sa vocation à la prêtrise.

Agé de 11 ans, il entre au séminaire Dès lors, il porte la soutane comme tous ses condisciples, soutane qu’il gardera jusqu’à sa mort.

 

C’est un garçon plein de vitalité, d’un caractère enthousiaste et doué d’un réel ascendant.

 

En 1944 les soldats allemands occupent le séminaire. Rolando est alors contraint de rentrer chez lui. Il continue ses études sous la direction du curé de sa paroisse.

 

Sa dévotion et son goût pour les études attirent les jeunes du village, qui se réunissent autour de lui. Il organise alors un catéchisme. Il est considéré comme chef de file de la jeunesse catholique locale.

 

Dans un contexte marqué par l’anticléricalisme qui suit la défaite allemande, les prêtres et les séminaristes sont considérés comme des ennemis à abattre.

 Rolando est capturé par des miliciens communistes.

 

Face à son refus constant d’abandonner sa soutane signe pour lui de son   appartenance à Jésus, Rolando est torturé pendant trois jours, puis emmené dans la forêt où il est abattu de deux balles dans la tête. Il avait 14 ans.

 

Reconnu martyr de la foi par l’église catholique, il a été béatifié en 2013.

 

Son assassin s’est repenti avant de mourir et sa fille a demandé pardon en son nom aux fidèles de son village de naissance.

 

Traduction Google

 Bendito

Rolando Rivi

14 años

Martirizados por el odio a la fe

Rolando Rivi (7 de enero de 1931 – 13 de abril de 1945) fue un seminarista italiano

Nacido en el seno de una familia rural, Rolando Rivi percibió rápidamente su vocación al sacerdocio.

A la edad de 11 años, ingresó al seminario A partir de entonces, usó la sotana como todos sus compañeros de estudios, sotana que conservó hasta su muerte.

Es un chico lleno de vitalidad, de carácter entusiasta y dotado de un verdadero ascendiente.

En 1944, los soldados alemanes ocuparon el seminario. Rolando se ve obligado a regresar a casa. Continuó sus estudios bajo la dirección del párroco.

Su devoción y gusto por los estudios atrajeron a los jóvenes del pueblo, que se reunían a su alrededor. Luego organizó un catecismo. Es considerado un líder de la juventud católica local.

En un contexto marcado por el anticlericalismo tras la derrota alemana, sacerdotes y seminaristas fueron considerados enemigos a derrotar.

Rolando es capturado por milicianos comunistas.

Ante su constante negativa a entregar su sotana, signo para él de pertenencia a Jesús, Rolando fue torturado durante tres días y luego llevado al bosque donde le dispararon dos veces en la cabeza. Tenía 14 años.

Reconocido como mártir de la fe por la Iglesia Católica, fue beatificado en 2013.

Su asesino se arrepintió antes de morir, y su hija pidió perdón en su nombre a los fieles de su lugar de nacimiento.

Blessed

Rolando Rivi

14 years old

Martyred in hatred of the faith

Rolando Rivi (7 January 1931 – 13 April 1945) was an Italian seminarian

Born into a rural family, Rolando Rivi quickly perceived his vocation to the priesthood.

 

At the age of 11, he entered the seminary. From then on, he wore the cassock like all his fellow students, a cassock that he kept until his death.

He is a boy full of vitality, with an enthusiastic character and endowed with a true ancestry.

In 1944, German soldiers occupied the seminary. Rolando is forced to return home. He continued his studies under the direction of the parish priest.

His devotion and taste for studies attracted the young people of the village, who gathered around him. He then organized a catechism. He is considered a leader of the local Catholic youth.

In a context marked by anticlericalism after the German defeat, priests and seminarians were considered enemies to be defeated.

Rolando is captured by communist militiamen.

Faced with his constant refusal to hand over his cassock, a sign for him of belonging to Jesus, Rolando was tortured for three days and then taken to the forest where he was shot twice in the head. He was 14 years old.

Recognized as a martyr for the faith by the Catholic Church, he was beatified in 2013.

Her murderer repented before he died, and his daughter asked for forgiveness on his behalf from the faithful of her birthplace.

Bienheureuse Chiara Luce Badano

Bienheureuse

Chiara Luce Badano

18 ans

 

Quelques liens pour en savoir plus :

 

Chiara Luce Badano nait dans une famille aimante dont elle est l’enfant unique.

 

Chiara est belle : son regard limpide attire. Elle aime la vie et   pratique différents sports : tennis, natation, danse, promenades dans les montagnes avec son père… Sa joie intérieure jaillit par les chants qu’elle aime entonner. Toujours entourée d’amis,  sa présence attire.

 

Elle les retrouve le soir dans son village, devant le café. Sa seule présence parmi eux est témoignage.

 

« Non, je ne parle pas de Dieu. […] Ce n’est pas parler de Dieu qui compte, moi je dois le donner. »

 

Engagée dans le mouvement des Focolari ( fondé par Chiara Lubich) depuis son enfance, elle y a appris l’Évangile, comme on apprend l’alphabet. Fascinée par l’idéal d’une union complète avec Jésus, elle a alors commencé la plus grande aventure de sa vie, alors qu’elle n’avait que 9 ans.

 

Il était essentiel pour Chiara d’avoir cette expérience de la présence de Dieu, ensemble, avec ses amis des Focolari.

A l’âge de17 ans, on a diagnostiqué à Chiara Luce un cancer des os. Cependant, la jeune fille n’a pas baissé les bras. Au contraire, habitée par une joie saisissante, elle avait l’habitude de réconforter ceux qui  venaient lui rendre visite. Elle est convaincue que toute souffrance  offerte à Dieu porte du fruit. Elle rentre chez elle et reste alitée chez ses parents à Sassello. Elle a alors une vie de prière importante, priant le rosaire et suivant la messe, et décide alors de renoncer  aux antidouleurs. 

Au moment de mourir, le 7 octobre 1990, à l’âge de 18 ans, elle a vécu sa mort comme un mariage avec Jésus. Ses derniers mots ont été pour sa mère :

 « Maman, au revoir. Sois heureuse parce que moi je le suis. Ciao !»

 

Chiara Luce a été béatifiée en 2010 et le pape benoit XVI dira d’elle:

 

« Avec Chiara il s’agit d’un merveilleux message…Deux ans plein de douleurs, une lumière qui, resplendit autour d’elle. Comment cela est-il possible? Comment une jeune fille de 17, 18 ans peut-elle vivre une douleur sans espoir et répandre l’amour, la sérénité , la paix,    la foi?   »

La clé de sa paix et de sa joie était sa pleine confiance  dans     le Seigneur.

 

Google traduction

 

Bendito

Chiara Luce Badano

18 años

Chiara Luce Badano nació en una familia amorosa de la que era la única niña.

Chiara es hermosa: su ojo claro está atrayendo. Le encanta la vida y practica diferentes deportes: tenis, natación, baile, camina por las montañas con su padre… Su alegría interior brota a través de las canciones que le gusta cantar. Siempre rodeada de amigos, su presencia atrae.

Los encuentra por la noche en su pueblo, frente al café. Su única presencia entre ellos es el testimonio.

« No, no estoy hablando de Dios. No se trata de Dios quien importa, debo darlo. –

Comprometida con el movimiento de los Focolares (encontrada por Chiara Lubich) desde su infancia, aprendió el Evangelio, mientras uno aprende el alfabeto. Fascinada por el ideal de una unión completa con Jesús, comenzó la mayor aventura de su vida, cuando sólo tenía nueve años.

Era esencial para Chiara tener esta experiencia de la presencia de Dios, juntos, con sus amigos del Focolare.

A la edad de 17 años, en Chiara Luce, se diagnosticó cáncer óseo. Sin embargo, la chica no se dio por vencida. Por el contrario, habitada por una alegría llamativa, solía consolar a quienes venían a visitarla. Ella está convencida de que cualquier sufrimiento ofrecido a Dios da fruto. Ella regresa a casa y se queda en la cama con sus padres en Sassello. Ella entonces tuvo una importante vida de oración, orando por el rosario y después de la misa, y luego decidió renunciar a los analgésicos.

Cuando murió el 7 de octubre de 1990, a la edad de 18 años, experimentó su muerte como matrimonio con Jesús. Sus últimas palabras fueron para su madre:

« Mamá, adiós. Sé feliz porque lo estoy. « Ciao ».

Chiara Luce fue beatificada en 2010 y el papa Benedicto XVI dirá:

« Con Chiara es un mensaje maravilloso… Dos años llenos de dolor, una luz que brilla a su alrededor. Cómo es posible? Cómo puede una chica de 17, 18 años de edad vivir un dolor sin esperanza y esparcir amor, serenidad, paz, fe? –

La llave de su paz y alegría era su plena confianza en el Señor.

Blessed

Chiara Luce Badano

18 years

Chiara Luce Badano was born into a loving family of which she was the only child.

Chiara is beautiful: his clear eye is attracting. She loves life and practices different sports: tennis, swimming, dancing, walks in the mountains with her father … Her inner joy springs through the songs she likes to sing. Always surrounded by friends, his presence attracts.

She finds them in the evening in her village, in front of the café. His only presence among them is testimony.

« No, I’m not talking about God. It is not about God who matters, I must give it. ”

Committed to the Focolare movement (found by Chiara Lubich) since her childhood, she learned the Gospel, as one learns the alphabet. Fascinated by the ideal of a complete union with Jesus, she began the greatest adventure of her life, when she was only nine years old.

 

It was essential for Chiara to have this experience of the presence of God, together, with his friends of the Focolare.

At the age of 17, in Chiara Luce, bone cancer was diagnosed. However, the girl did not give up. On the contrary, inhabited by a striking joy, she used to comfort those who came to visit her. She is convinced that any suffering offered to God bears fruit. She returns home and remains in bedridden with her parents in Sassello. She then had an important life of prayer, praying for the rosary and following Mass, and then decided to give up the painkillers.

When she died on 7 October 1990, at the age of 18, she experienced her death as a marriage to Jesus. His last words were for his mother:

« Mom, goodbye. Be happy because I am. « Ciao. »

Chiara Luce was beatified in 2010 and Pope Benedict XVI will say:

« With Chiara it is a wonderful message… Two years full of pain, a light that shines around her. How is this possible? How can a girl of 17, 18 years of age live a hopeless pain and spread love, serenity, peace, faith? ”

The key to his peace and joy was his full confidence in the Lord.

Sainte Maria Goretti

 Sainte Maria Goretti

12 ans

martyre

Sainte Maria Goretti est la plus jeune sainte canonisée

Quelques liens pour en savoir plus :

 

Née dans une  famille pauvre qui travaille la terre Marietta, comme on l’appelle, bien qu’elle ne soit qu’une simple enfant, fait preuve d’une maturité spirituelle remarquable.

A l’âge de onze ans elle est agressée par son  voisin  Alessandro qui la   poursuivait depuis longtemps, elle se défend énergiquement au nom du Christ « C’est un péché, Alessandro! » . Mais son agresseur, rendu furieux par son refus lui assène quatorze coups de couteau. 

 

Maria mourra le lendemain dans de grandes souffrances .

 

Face à la violence et aux blessures mortelles infligées par son agresseur, elle lui a pardonné avant de rendre son dernier souffle  Ses derniers mots, prononcés avant son décès, ont été :

« je pardonne à Alessandro Serinelli et je le veux au paradis avec moi pour toujours. »

 

C’est grâce à la sincérité de Maria Goretti qui pardonna à son agresseur qu’il connut une conversion du coeur six ans plus tard. Il fit un rêve dans lequel elle lui apparut et lui présenta quatorze lys symbolisant la pureté, soit le nombre exact de fois qu’Alessandro l’avait poignardée, ce qui avait finalement entraîné sa mort.

 

Grâce au pardon de cette enfant, son agresseur put se réconcilier avec Dieu. Il rechercha la paix et l’amour en confessant ses péchés à l’évêque et en demandant pardon à la mère de Maria Goretti, Assunta Goretti.

 

Alessandro passa le reste de ses jours à s’efforcer de vivre une vie vertueuse dans un couvent capucin et assista même à la messe de canonisation  présidée par le pape Pie XII en l’honneur de Maria Goretti le 24 juin 1950.

 

 La mère de Maria assista à sa canonisation à Rome aux côtés d’Alessandro. C’était la première fois qu’une mère assistait à la canonisation de son enfant.

 

L’histoire de Maria Goretti est celle d’une vertu extraordinaire du pouvoir du pardon et de la rédemption à l’égard de son agresseur.

Elle est la patronne de la chasteté, des adolescentes,

des jeunes et des victimes de viol 

Elle est reconnue pour son incarnation du pardon

 

 

Traduction Google

Santa María Goretti
12 años
martirio
Santa María Goretti es la santa canonizada más joven

Nacida en el seno de una familia pobre que trabajaba la tierra, Marietta, como la llamaban, aunque era solo una niña, mostró una notable madurez espiritual.

A la edad de once años fue atacada por su vecino Alessandro que la había estado persiguiendo durante mucho tiempo, ella se defendió enérgicamente en nombre de Cristo « ¡Es un pecado, Alessandro! » Pero su agresor, enfurecido por su negativa, lo apuñaló catorce veces.

María murió al día siguiente en medio de grandes sufrimientos.

Ante la violencia y las lesiones mortales infligidas por su agresor, lo perdonó antes de dar su último aliento. Sus últimas palabras, pronunciadas antes de su muerte, fueron:

« Perdono a Alessandro Serinelli y lo quiero en el cielo conmigo para siempre ».

Fue gracias a la sinceridad de Maria Goretti, que perdonó a su agresor, que experimentó una conversión de corazón seis años después. Tuvo un sueño en el que ella se le apareció y le presentó catorce lirios que simbolizaban la pureza, el número exacto de veces que Alessandro la había apuñalado, lo que finalmente resultó en su muerte.

Gracias al perdón de esta niña, su agresor pudo reconciliarse con Dios. Buscó la paz y el amor confesando sus pecados al obispo y pidiendo perdón a la madre de María Goretti, Assunta Goretti.

Alessandro pasó el resto de sus días esforzándose por vivir una vida virtuosa en un convento capuchino e incluso asistió a la misa de canonización presidida por el Papa Pío XII en honor de María Goretti el 24 de junio de 1950.

La madre de María asistió a su canonización en Roma junto a Alessandro. Era la primera vez que una madre asistía a la canonización de su hijo.

La historia de María Goretti es la de una virtud extraordinaria, del poder del perdón y de la redención con respecto a su agresor.

Es la patrona de la castidad, de las adolescentes,

Jóvenes y víctimas de violación

Es conocida por su encarnación del perdón

Saint Maria Goretti
12 years
martyrdom
Saint Maria Goretti is the youngest canonized saint

Born into a poor family that worked the land, Marietta, as she was called, although she was only a child, showed remarkable spiritual maturity.

At the age of eleven she was attacked by her neighbor Alessandro who had been persecuting her for a long time, she vigorously defended herself in the name of Christ « It’s a sin, Alessandro! » But his attacker, enraged by his refusal, stabbed him fourteen times.

 

Mary died the next day in the midst of great suffering.

Faced with the violence and fatal injuries inflicted by her attacker, she forgave him before taking her last breath. His last words, spoken before his death, were:

« I forgive Alessandro Serinelli and I want him in heaven with me forever. »

It was thanks to the sincerity of Maria Goretti, who forgave her aggressor, that she experienced a conversion of heart six years later. He had a dream in which she appeared to him and presented him with fourteen lilies symbolizing purity, the exact number of times Alessandro had stabbed her, which ultimately resulted in her death.

Thanks to this girl’s forgiveness, her aggressor was able to reconcile with God. He sought peace and love by confessing his sins to the bishop and asking forgiveness from Maria Goretti’s mother, Assunta Goretti.

Alessandro spent the rest of his days striving to live a virtuous life in a Capuchin convent and even attended the canonization Mass presided over by Pope Pius XII in honor of Maria Goretti on June 24, 1950.

Mary’s mother attended her canonization in Rome with Alessandro. It was the first time that a mother attended the canonization of her son.

Maria Goretti’s story is one of extraordinary virtue, of the power of forgiveness and redemption with respect to her aggressor.

She is the patroness of chastity, of adolescents,

Young people and rape victims

She is known for her embodiment of forgiveness

Bienheureux Pier Giorgio Frassati

Bienheureux

 Pier Giorgio Frassati

24 ans

Quelques liens pour en savoir plus :

 

Né en Italie en 1901, issu d’une famille de la grande bourgeoisie, (son père était un magnat de la presse et sénateur) Pier Giorgio a très vite montré    une grande bienveillance pour les plus pauvres et un grand amour pour l’Évangile.

 

Sa foi étonne et dérange sa famille . Son père Alfredo définit son fils comme “un homme inutile”, condamnant son “vagabondage” à travers la ville parmi les gens qui ne sont pas à sa hauteur.

 

Pier Giorgio, pour sa part, est toujours souriant, acceptant les reproches sans répondre avec un véritable amour  et une vraie participation à la souffrance humaine.

 

C’est un jeune homme joyeux qui est de plus un véritable athlète pratiquant toutes sortes de sports, mais c’est surtout la montagne  qui l’attire, véritable image de sa vie spirituelle.

 

Sa devise :  Verso l’alto  (vers le haut.)

 

Il fédère ses amis autour de la « compagnie des types louches », avec qui il part gravir les hauts sommets italiens unis par une véritable amitié fondée sur la foi et la prière.. Et surtout il passe une grande partie de son temps dans les quartiers défavorisés de Turin se dévouant corps et âme pour les pauvres et les malades.

 

Dans une lettre il écrit :

«Malheureux celui qui n’a pas la foi!

vivre sans la foi, sans ce patrimoine à défendre,

sans cette vérité à soutenir

par une lutte de tous les instants,

ce n’est plus vivre mais gâcher sa vie »

 

Il décède très jeune, à 24 ans, en 1925 des suites d’une poliomyélite. Lors de son enterrement, une grande foule composée principalement de personnes en précarité se déplace pour rendre un dernier hommage au jeune homme  au grand étonnement de sa famille. 

 

Lors de l’ouverture de son procès en béatification en 1981, son corps avait été exhumé: intact, et avait été transféré dans la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin.

 

Quelques années plus tard, en 1990, il était béatifié.

 Le pape Jean-Paul II a alors insisté sur « l’homme des huit Béatitudes ».

 

le donnant comme modèle aux jeunes et le proclamant

patron des sportifs,  des montagnards

et des journées mondiales de la jeunesse.

(Pier Giorgio devrait être canonisé en 2025)

 

Traduction Google

Bendito

Pier Giorgio Frassati

24 años

Nacido en Italia en 1901, en el seno de una familia de la gran burguesía (su padre era un magnate de la prensa y senador), Pier Giorgio mostró muy pronto una gran benevolencia hacia los más pobres y un gran amor por el Evangelio.

Su fe asombra y perturba a su familia. Su padre Alfredo describe a su hijo como « un hombre inútil » y condena su « deambular » por la ciudad entre gente que no está a su altura.

Pier Giorgio, por su parte, está siempre sonriendo, aceptando los reproches sin responder con verdadero amor y una verdadera participación en el sufrimiento humano.

Era un joven alegre que también era un verdadero deportista que practicaba todo tipo de deportes, pero era sobre todo la montaña lo que le atraía, una verdadera imagen de su vida espiritual.

Su lema: Verso l’alto (hacia arriba).

Federó a sus amigos en torno a la « compañía de los turbios », con los que se lanzó a escalar las altas cumbres italianas unidos por una verdadera amistad basada en la fe y la oración. Y, sobre todo, pasó gran parte de su tiempo en los barrios desfavorecidos de Turín, dedicándose en cuerpo y alma a los pobres y a los enfermos.

En una carta escribió:

« ¡Ay del que no tiene fe!

vivir sin fe, sin esta herencia que defender,

sin esta verdad que apoyar

por una lucha constante,

ya no se trata de vivir, sino de desperdiciar la vida »

Murió muy joven, a la edad de 24 años, en 1925 de poliomielitis. En su funeral, una numerosa muchedumbre compuesta principalmente por personas en situación precaria acudió a presentar sus últimos respetos al joven, con gran asombro de su familia.

Al inicio de su proceso de beatificación en 1981, su cuerpo fue exhumado: intacto, y fue trasladado a la Catedral de San Juan Bautista en Turín.

Unos años más tarde, en 1990, fue beatificado.

 El Papa Juan Pablo II insistió entonces en « el hombre de las ocho Bienaventuranzas ».

poniéndolo como modelo a los jóvenes y proclamándolo

Patrona de los deportistas, de los montañeros

Blessed

Pier Giorgio Frassati

24 years old

Born in Italy in 1901, from a family of the great bourgeoisie (his father was a press magnate and senator), Pier Giorgio very quickly showed great benevolence for the poorest and a great love for the Gospel.

His faith astonishes and disturbs his family. His father Alfredo describes his son as « a useless man », condemning his « wandering » through the city among people who are not up to him.

Pier Giorgio, for his part, is always smiling, accepting reproaches without responding with true love and a true participation in human suffering.

He was a cheerful young man who was also a real athlete who practiced all kinds of sports, but it was above all the mountains that attracted him, a true image of his spiritual life.

His motto: Verso l’alto (upwards.)

He federated his friends around the « company of shady guys », with whom he set off to climb the high Italian peaks united by a true friendship based on faith and prayer. And above all, he spent a large part of his time in the underprivileged neighborhoods of Turin, devoting himself body and soul to the poor and the sick.

In a letter he wrote:

« Woe to him who has no faith!

to live without faith, without this heritage to defend,

without this truth to support

by a constant struggle,

it is no longer to live but to waste one’s life »

He died very young, at the age of 24, in 1925 from poliomyelitis. At his funeral, a large crowd composed mainly of people in precarious situations came to pay their last respects to the young man, to the great astonishment of his family.

At the opening of his beatification process in 1981, his body was exhumed: intact, and was transferred to the Cathedral of St. John the Baptist in Turin.

A few years later, in 1990, he was beatified.

 Pope John Paul II then insisted on « the man of the eight Beatitudes ».

giving him as a model to the young and proclaiming him

patron saint of sportsmen, of mountaineers

and World Youth Day.