Sacrements

Derniers articles sur les sacrements

  • Sacrements
    Derniers articles sur les sacrements
  • Le sacrement du mariage en quelques points
    1 an avant la date du mariage contactez Madame Banon : mariage.saintguiraud@gmail.com Image par Katarzyna de Pixabay Le sacrement du mariage repose sur quatre piliers : la liberté de consentement, l’indissolubilité, la fidélité, et l’ouverture à la vie. Ce sont les époux qui « se confèrent mutuellement le sacrement du mariage en exprimant devant l’Église… Lire la suite : Le sacrement du mariage en quelques points
  • Préparation au baptême
    3 mois avant la date de baptême contactez Madame Dartiguelongue  : bapteme.saintguiraud@gmail.com L’équipe inter-paroissiale de préparation au baptême de Béziers accompagne les couples qui ont demandé ce sacrement pour leur jeune enfant. Réunis dans la salle Saint Guiraud derrière l’église de la Sainte Famille, ces rencontres qui ont lieu le samedi matin sont un moment… Lire la suite : Préparation au baptême
  • Le 12 Février 2023 : le Dimanche de la Santé
    Le 12 Février 2023 nous célébrerons le Dimanche de la Santé lors de toutes les messes du week-end. Deux messes seront dédiées à l’accueil des malades et des professionnels de santé, au cours desquelles, le sacrement des malades, pourra être administré aux malades qui auront fait préalablement la demande au prêtre de leur paroisse de recevoir… Lire la suite : Le 12 Février 2023 : le Dimanche de la Santé
  • Tout le monde Te cherche…
    Édito du Dimanche de la Santé 2021, précède le 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes. Saint Jean-Paul II en 1992 souhaitait attirer l’attention du monde entier sur la nécessité d’entourer les malades, les handicapés, les personnes âgées de leur apporter affection et compassion : Il a ainsi institué La Journée Mondiale des Malades. Elle… Lire la suite : Tout le monde Te cherche…
  • Vous avez dit Baptême ?
    Ce dimanche nous fêtons le baptême du Seigneur. L’ « abaissement » de Jésus à son baptême aboutit à une manifestation de Dieu. Au moment où Jésus s’assimile lui-même aux pécheurs, où il se veut un homme comme les autres, il est manifesté comme Fils de Dieu. C’est ce que nous rappelle l’Antienne d’ouverture :… Lire la suite : Vous avez dit Baptême ?
  • La confession : trinité du Pardon
    La confession est un des sept sacrements. Après un examen de conscience et une repentance – marquée par l’acte de contrition – nous demandons pardon au Seigneur pour nos péchés. Associé au regret, à la pénitence, la confession peut parfois mettre à distance, et pourtant – sacrement de tant de grâces – à la sortie… Lire la suite : La confession : trinité du Pardon
  • S’unir à une célébration d’obsèques
    Un de vos proches, parent, ami(e), collègue … est décédé et vous ne pouvez pas participer aux obsèques. Avec les textes ci-dessous unissez-vous à la prière de tous ses proches. Vous pouvez le faire à l’heure même des obsèques. – L’APOTRE SAINT PAUL ÉCRIT AUX THÉSSALONICIENS – “ Frères, nous ne voulons pas vous laisser… Lire la suite : S’unir à une célébration d’obsèques

Le sacrement du mariage en quelques points

1 an avant la date du mariage contactez Madame Banon : mariage.saintguiraud@gmail.com

Image par Katarzyna de Pixabay

Le sacrement du mariage repose sur quatre piliers : la liberté de consentement, l’indissolubilité, la fidélité, et l’ouverture à la vie.

Ce sont les époux qui « se confèrent mutuellement le sacrement du mariage en exprimant devant l’Église leur consentement » (n° 1623 du Catéchisme de l’Église catholique).

Le mariage sacramentel à l’église rappelle que les futurs époux sont appelés à s’aimer l’un et l’autre comme Dieu aime, et que cet amour ne pourra se réaliser que s’ils mettent Dieu au centre de leur vie et comptent davantage sur son aide, que sur leurs propres forces.

Placer Dieu en premier dans leur couple permet aux époux de se rappeler qu’ils sont appelés à s’aimer à la manière de Dieu. Aimer l’autre, comme Dieu a aimé l’Église aide les époux à développer un amour chaste. La chasteté ne signifie pas l’abstinence sexuelle, mais une manière de vivre sa sexualité dans un don. Elle vise au respect de la personne dans tout son être.

Le sacrement du mariage à l’église appelle aussi les époux, non seulement à être des signes visibles de l’Amour de Dieu, mais aussi des témoins dans le Monde. Ils peuvent ainsi annoncer l’Évangile, non seulement dans leurs milieux, mais aussi, par le biais de leur paroisse ou de différents mouvements leur permettant de vivre la mission en couple (par exemple la Communion Priscille & Aquila).

La participation à l’Eucharistie dominicale, la prière en couple, le pardon mutuel, le fait d’échanger avec d’autres couples (par exemple Les Équipes Notre-Dame), de vivre une retraite spirituelle, sont d’autres moyens pour aider les couples à bien vivre le sacrement du mariage.

En recevant la grâce de Dieu, qui a institué le sacrement du mariage, et en la vivant, les couples chrétiens seront mieux à même de s’aimer d’un amour surnaturel, et de répondre à l’appel universel à la sainteté.

Tristan Chaplin pour Hozana.org

Préparation au baptême

3 mois avant la date de baptême contactez Madame Dartiguelongue  : bapteme.saintguiraud@gmail.com

L’équipe inter-paroissiale de préparation au baptême de Béziers accompagne les couples qui ont demandé ce sacrement pour leur jeune enfant.

Réunis dans la salle Saint Guiraud derrière l’église de la Sainte Famille, ces rencontres qui ont lieu le samedi matin sont un moment riche d’échanges entre parents et animateurs dans une ambiance bienveillante et conviviale.

Invités à exprimer ce   qu’ils souhaitent pour leur   enfant à l’occasion du baptême, cette préparation est   l’occasion avant tout pour chacun, parents et animateurs, de pouvoir témoigner de sa   foi et de la place qu’occupe   Jésus dans sa vie.

« Jésus Christ   t’aime, il a donné sa vie pour   te sauver, et maintenant il est   vivant à tes côtés chaque jour   pour t’éclairer, pour te fortifier, pour te libérer » (Pape François).

Avec la lecture de la parabole du semeur, les parents   prennent conscience que le   baptême n’est pas une fin en   soi mais le début pour leur enfant d’un chemin d’initiation   chrétienne et que leur rôle   est de l’accompagner dans la   foi soutenue par l’Eglise. Quelle   joie de voir l’Eglise grandir en communion avec le Christ !  

« Allez ! De toutes les nations   faites des disciples : baptisez-   les au nom du Père, et du Fils, et   du Saint-Esprit, apprenez-leur à   observer tout ce que je vous ai   commandé. Et moi, je suis avec   vous tous les jours jusqu’à la fin   du monde » (Mathieu 28 19-20).  

 

Pour plus de renseignements, Arnaud Petit :   arnaud.petit34@orange.fr

Le 12 Février 2023 : le Dimanche de la Santé

Le 12 Février 2023 nous célébrerons le Dimanche de la Santé lors de toutes les messes du week-end.

Deux messes seront dédiées à l’accueil des malades et des professionnels de santé, au cours desquelles, le sacrement des malades, pourra être administré aux malades qui auront fait préalablement la demande au prêtre de leur paroisse de recevoir les sacrements de guérison : sacrement de réconciliation et sacrement des malades.

                  Samedi 11 février à 18h30 à la Sainte Famille et Dimanche 12 février à 11H au Curé d’Ars.

 En Pratique:

  • Vous êtes malade ou votre santé est fragile et vous souhaitez recevoir l’onction des malades : contactez le prêtre de votre paroisse pour lui exposer votre situation et lui demander de recevoir sacrement de réconciliation et sacrement des malades.
  • Si vous avez des difficultés pour vous déplacer, un covoiturage est possible sur demande auprès de votre prêtre.
  • Vous êtes professionnel de Santé et souhaitez participer ou faire un témoignage : contactez le prêtre de votre paroisse.
  • Vous visitez régulièrement un malade ou vous souhaitez donner de votre temps pour accompagner des malades contactez le Service de l’Évangile auprès des malades et des personnes âgées, voir dépliant SEM.

Depuis 1992, l’Église Universelle célèbre tous les 11 février, fête de Notre Dame de Lourdes, la Journée Mondiale des Malades. En France celle-ci se décline en un Dimanche de la Santé, pour rappeler que l’accompagnement des personnes souffrantes et la préservation du don de santé sont des priorités évangéliques. C’est l’occasion de confier à Dieu tous ceux qui sont au service de la santé et tous ceux qui en bénéficient.

Les sacrements de guérison : Réconciliation et Onction des malades ouvrent un chemin d’espérance.

Guérison intérieure, réconciliation avec soi-même, avec ses proches, avec Dieu, mais aussi parfois guérison physique ou vrai mieux être. Dans l’onction, le Christ manifeste la tendresse du Père pour celui qui souffre en donnant son Esprit, force pour lutter contre le mal.

L’onction des malades

Le sacrement des malades a pour but de donner une aide spéciale au chrétien confronté aux difficultés d’une maladie grave ou de la vieillesse. Le chrétien peut recevoir le sacrement des malades chaque fois qu’il est atteint d’une grave maladie. C’est le sacrement de la présence du Seigneur à nos côtés dans les moments d’épreuve que sont la maladie ou la vieillesse. La célébration de ce sacrement consiste en l’onction d’huile bénite sur le front et en l’imposition des mains. Consacrée par l’évêque lors de la messe chrismale annuelle, l’huile dite des malades apporte force et douceur. Elle pénètre la peau, répand sa bonne odeur, fortifie le corps.

Voici les mots qui accompagnent l’onction avec l’huile sainte sur le front et dans les mains des malades :

Par cette onction sainte, que le Seigneur en sa grande bonté vous réconforte par la grâce de l’Esprit Saint. Ainsi, vous ayant libéré de tous péchés, qu’il vous sauve et vous relève.

Avec l’imposition des mains, l’onction rappelle l’attention et la tendresse de Jésus Christ envers les personnes malades.

« Si l’un de vous est malade, qu’il fasse appeler les anciens de la communauté qui prieront pour lui en pratiquant une onction d’huile au nom du Seigneur. Leurs prières, inspirées par la foi, sauveront le malade, le Seigneur le relèvera, et s’il a commis des péchés, ils lui seront pardonnés. » Jc 5, 14-15

Magali Franck-Lacaze
           0622949304

Tout le monde Te cherche…

Édito du Dimanche de la Santé 2021, précède le 11 février, fête de Notre-Dame de Lourdes.

Saint Jean-Paul II en 1992 souhaitait attirer l’attention du monde entier sur la nécessité d’entourer les malades, les handicapés, les personnes âgées de leur apporter affection et compassion : Il a ainsi institué La Journée Mondiale des Malades. Elle est également dédiée à tout le personnel soignant ainsi qu’aux personnes qui les assistent au quotidien. Pour les Chrétiens, cette journée prend un sens tout particulier et elle concerne chacun d’entre nous. Concrètement, il s’agit de réaliser et d’agir envers ceux qui souffrent, avoir une pensée fraternelle, un coup de téléphone, une visite pour apaiser et ainsi réconforter la personne touchée par la maladie et souvent par la solitude.

Le malade a toujours un visage, c’est une belle relation de confiance. Pouvoir établir un lien personnel afin d’apporter le réconfort. Aller visiter quand cela est possible, s’arrêter, écouter, prier…

 

On a jamais autant parlé de la maladie et de la santé qu’en ce moment car nous traversons une période particulièrement troublée et anxiogène. Il est important d’encourager tous les volontaires qui agissent dans la discrétion et le dévouement, qui se rendent présents auprès de ceux qui en ont besoin.

Le DIMANCHE DE LA SANTE est une prise de conscience. Donner du sens à ce SERVICE à cette MISSION évangélique qui nous est confié. C’est un rendez-vous dans l’espérance pour célébrer la santé et tisser des liens entre ceux qu’on appelle les «Biens-Portants » et ceux dont l’existence est fragile. Il suffit souvent de peu de chose, d’un regard, d’un sourire, de prendre la main du malade pour voir son visage s’éclairer.

En ce temps de longue pandémie, sommes-nous encore capable d’éprouver de l’empathie envers nos frères et sœurs souffrants ? Le cœur ouvert, la main tendue, le Seigneur est là.

L’Église est présente dans tous les Hôpitaux et Cliniques par une équipe d’aumônerie accompagnée de son Prêtre. En maison de retraite et à domicile par des paroissiens envoyés par le Prêtre de leur paroisse pour accomplir le service de l’Évangile auprès des malades.

 

Janine Stijns
Aumônière du Centre Hospitalier

Pour moi, mon Dieu, je suis si persuadé que vous veillez sur ceux qui espèrent en vous et qu’on ne peut manquer de rien, quand on attend de vous toutes choses, que j’ai résolu de vivre à l’avenir sans aucun souci et de me décharger sur vous de toutes mes inquiétudes : « En paix, tout ensemble, je me couche et je m’endors ; car toi seul, Seigneur, me fais habiter en sécurité » (Ps 4,9 Vg).
— Saint Claude la Colombière (1641-1682) jésuite.

Vous avez dit Baptême ?

Ce dimanche nous fêtons le baptême du Seigneur. L’ « abaissement » de Jésus à son baptême aboutit à une manifestation de Dieu. Au moment où Jésus s’assimile lui-même aux pécheurs, où il se veut un homme comme les autres, il est manifesté comme Fils de Dieu. C’est ce que nous rappelle l’Antienne d’ouverture :

« Au baptême de Jésus, les cieux s’ouvrirent et la voix du Père se fit entendre » 

La voix du Père est parole de vie, elle révèle l’identité de Jésus.

Il est « le Fils bien-aimé ».

Nous vivons aujourd’hui dans une société multiculturelle et multi-spirituelle. Nous côtoyons de plus en plus de personnes qui n’ont pas été baptisées enfant. Ces adultes et ces adolescents peuvent choisir de devenir disciples de Jésus-Christ, de demander eux-mêmes à devenir chrétiens par le baptême. Même après près de 20 ans d’accompagnement des jeunes collégiens en aumônerie, cette demande me surprend toujours :

« Je voudrais être baptisé »

C’est comme une onde de choc qui me parcourt à chaque fois et me renvoie à ma propre foi. Les adolescents, vous le savez, sont parfois rebelles et peu enclin à la docilité, c’est donc leur propre choix qui s’exprime. Ces jeunes arrivent souvent invités par un copain, ou parce qu’ils ont assisté à un baptême, une première communion. Certains peuvent être portés par une famille qui a voulu leur laisser le choix, d’autres n’ont pas été baptisés bébé suite à des circonstances plus tragiques comme le décès d’un proche. Bref, ils arrivent et une question se pose : Comment les accueillir ?

Ils ne se présentent pas toujours au « bon moment » ! La rentrée est déjà passée, il n’y a personne d’autre de leur âge, et pourtant, il leur a certainement fallu un certain courage pour frapper à la porte de l’Église, pour énoncer une demande qui n’est peut-être pas si claire pour eux. Il nous en faudra aussi pour les accueillir, pour oser les accompagner, pour faire connaissance avec les familles car l’accord des parents reste nécessaire. L’adolescent doit se sentir en sécurité et compris de tous. A nous d’y mettre toute notre énergie, notre créativité et surtout notre joie.

Ouvrons grandes les portes de l’église mais aussi celle de notre cœur. Ces jeunes sont la preuve que l’Eglise est toujours vivante. Adaptons plus activement nos célébrations à ces jeunes pour qu’ils se sentent véritablement accueillis et rassurés.

 

Monique MOLLIER
Mère de famille et membre de l’Équipe d’Animation Pastorale

La confession : trinité du Pardon

La confession est un des sept sacrements. Après un examen de conscience et une repentance – marquée par l’acte de contrition – nous demandons pardon au Seigneur pour nos péchés. Associé au regret, à la pénitence, la confession peut parfois mettre à distance, et pourtant – sacrement de tant de grâces – à la sortie du confessionnal nous attendent surtout la joie et la paix.

Photo Carlos Daniel


– Confession, sacrement de conversion : C’est avant tout une démarche de notre part pour, comme le fils prodigue, revenir au Père qui nous attend déjà les bras ouverts.

« La confession est le sacrement de la tendresse de Dieu, sa manière de nous embrasser. »         — Pape François

– Confession, sacrement de guérison : Comme un nouveau baptême, la confession nous renouvelle dans le Christ, et nous fait ressentir le soulagement et la paix d’une libération. Car si le péché originel, blessure de l’humanité, peut être guérie par le baptême, chaque péché est une blessure pour l’homme que la miséricorde de Dieu soigne et apaise.

– Confession, sacrement de réconciliation : Le péché nous éloigne de nous-mêmes, de notre prochain, blesse le corps du Christ formé par l’Église. Nous sachant aimés et pardonnés, purifiés comme un jeune baptisé, nous pouvons rayonner de l’Esprit et restaurer des relations saines et bienveillantes avec les autres et en premier lieu, dans notre couple, dans notre famille, au travail.

Allons recueillir le baiser de notre Père et nous remplir de son amour !

« Comme un enfant qui s’est rendu coupable mais qui sait bien qu’on lui pardonnera, pour s’excuser d’être si misérable, vient se jeter dans vos bras ! Me voici Seigneur, Me voici comme un enfant ! »

La prière sauvera le monde et changera votre vie

S’unir à une célébration d’obsèques

Un de vos proches, parent, ami(e), collègue … est décédé et vous ne pouvez pas participer aux obsèques. Avec les textes ci-dessous unissez-vous à la prière de tous ses proches. Vous pouvez le faire à l’heure même des obsèques.

– L’APOTRE SAINT PAUL ÉCRIT AUX THÉSSALONICIENS –

“ Frères, nous ne voulons pas vous laisser dans l’ignorance au sujet de ceux qui se sont endormis dans la mort ; il ne faut pas que vous soyez abattus comme les autres, qui n’ont pas d’espérance.

Jésus, nous le croyons, est mort et ressuscité ; de même, nous le croyons aussi, ceux qui se sont endormis, Dieu, par Jésus, les emmènera avec lui. Réconfortez-vous donc les uns les autres avec ce que je viens de dire.”

– PSAUME 22 –

“ Le Seigneur est mon berger : je ne manque de rien.
Sur des prés d’herbe fraîche, il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin pour l’honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort, je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Grâce et bonheur m’accompagnent tous les jours de ma vie ; j’habiterai la maison du Seigneur pour la durée de mes jours.”

– ÉVANGILE DE JÉSUS-CHRIST, SELON SAINT JEAN –

“ Jésus disait à ses disciples : Que votre cœur ne soit pas bouleversé, vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père il y a de nombreuses demeure sinon vous aurais-je dit : « Je pars vous préparer une place ? » Quand je serai parti vous préparer une place, je reviendrai et je vous emmènerai auprès de moi, afin que, là où je suis, vous soyez vous aussi.”

– INTENTIONS DE PRIÈRE –

Seigneur, notre vie est courte et fragile, la mort de N. me le rappelle.
Mais toi, tu es vivant à jamais et ton amour est plus fort que la mort.

Nous te confions N. qui nous quitte. Pardonne-lui ses fautes et accueille-le/la Pour qu’il/elle vive à jamais auprès de toi.

Nous te prions aussi pour ses proches dans la peine (donner leurs noms).

Nous te prions aussi pour toutes les victimes de l’épidémie actuelle, pour leurs familles et pour tous les soignants.

– LA PRIÈRE DE JÉSUS AU PÈRE –

Avec tous les chrétiens je dis la prière que Jésus nous a donnée :

“Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal. Amen.”

– LA PRIÈRE À MARIE, MÈRE DE JÉSUS ET NOTRE MÈRE –

Marie, je te confie, celui/celle qui nous quitte

“ Je vous salue, Marie pleine de grâce ; Le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, Priez pour nous pauvres pécheurs, Maintenant et à l’heure de notre mort. Amen.”

 

Sculpture d’Injalbert Cimetière Vieux de Béziers

Baptême : 3 questions que l’on n’ose pas toujours poser

Vous pensez  baptiser votre enfant. Vous avez commencé les démarches auprès de votre paroisse. Préparation, choix du parrain et de la marraine, tout cela peut faire naître des questions dans votre esprit. C’est bien naturel ; le baptême de son enfant n’est pas un acte anodin. Il s’agit d’un sacrement qui engage parents, parrain et marraine. Voici des éléments de réponses à trois questions que peuvent fréquemment se poser les parents de futurs petits baptisés. 
Dans tous les cas, n’hésitez pas à vous rapprocher du prêtre ou de l’équipe baptême de votre paroisse pour discuter de votre démarche. Ils sont là pour répondre à vos questions et accueillir vos doutes.

1. Est-ce que nous faisons bien de faire baptiser notre enfant petit ? Ne vaut-il pas mieux attendre afin qu’il choisisse lui-même sa voie quand il sera plus grand ?

Le baptême est une grâce. Ce n’est pas l’homme qui fait le choix de Dieu, mais Dieu qui choisit l’homme. Dieu aime mon enfant et désire en faire son enfant. Pourquoi tarder ? En tant que croyants, nous pensons que faire entrer Dieu dans notre vie est une bénédiction. Nous désirons le meilleur pour notre enfant alors tout naturellement nous souhaitons qu’il puisse connaître Dieu intimement. Mais le baptême n’est que le début du chemin du chrétien. Nous l’accompagnons au départ – en demandant le baptême, en l’inscrivant au catéchisme, en priant en famille – puis nous lui lâchons progressivement la main. Et ce sera à lui de choisir en toute liberté de continuer ou non sur le chemin du Christ ; c’est en apprenant à connaître Jésus que l’on découvre si on désire réellement le suivre. Il pourra alors – si et quand il le souhaite – “confirmer” son baptême par le sacrement de confirmation durant lequel il recevra l’Esprit-Saint en plénitude. 

2. Pouvons-nous choisir un parrain ou une marraine non baptisé ?

Pour le baptême, nous devons choisir un parrain, une marraine ou un parrain ET une marraine. Ce seront des personnes qui seront chargées de guider l’enfant dans sa vie de chrétien. C’est pourquoi il est important qu’elles soient elles-mêmes baptisées (voire confirmées). En effet, quand nous sommes “parrainés” pour entrer dans une association, nous comprenons la nécessité que notre parrain en soit membre. Sinon comment peut-il nous y guider ? C’est pareil pour l’Eglise. Nous pouvons avoir des personnes chères à nos coeurs, non baptisée mais dont nous apprécions les valeurs et qui seront très présentes dans la vie de notre enfant, mais pas en tant que parrain ou marraine de baptême.
 Si nous ne connaissons personne dans notre entourage qui puisse jouer ce rôle de guide chrétien pour notre enfant, le prêtre peut nous en présenter au sein de la paroisse.

3. En tant que parents du baptisé, pourquoi devons-nous faire une préparation ?

Il peut sembler parfois un peu (ou très !) rébarbatif de suivre une préparation au sein de la paroisse pour le baptême de notre enfant. Manque de temps, crainte de ne rien apprendre, sentiment de n’être pas à sa place … les raisons sont nombreuses d’y renoncer. Cette préparation est toutefois très importante. D’un point de vue spirituel, elle permet de (re)découvrir le sens du baptême et, au-delà, ce que signifie devenir un enfant de Dieu. Elle s’offre comme une parenthèse dans nos vies bien occupées. Nous pouvons prendre le temps de nous poser des questions importantes et d’en discuter en couple et avec d’autres parents. Qu’est-ce que je veux réellement pour mon enfant ? Qu’est ce qui importe vraiment pour moi dans la vie ? Où en suis-je de ma relation à Dieu ?  
La préparation permet également aux parents de préparer la célébration du baptême, avec le choix des textes, la litanie des saints, et l’écriture de la prière universelle.

… Et de poser toutes les autres questions que nous avons à propos du baptême, des sacrements et de la vie d’un chrétien aujourd’hui !

 

La prière sauvera le monde et changera votre vie